12 févr. 2008

Devil May Cry 4

Nero est en plein cour magistral à Pouldar, ça le barbe un peu mais il est surtout préoccupé par le collier super moche qu’il veut offrir à sa nana un peu tarte. Surgit de nulle part, Dante vient semer sa zone et blesse gravement le professeur Albus Dumbledore. S’en suit une scène de baston démente entre les deux clones, et pas une scène de feignasse, ça tourne ça speed, ça explose, c’est la claque. Voilà, une intrigue minimaliste et des scènes d’action décoiffantes, c’est tout ce qu’on attendait, et c’est ce qui nous attend.

Devil may cry 4 est à la hauteur de ce qu’on pouvait espérer, beau nerveux maniable, un jeu qui en colle plein les yeux et plein les mains. Un peu facile (j’ai des souvenirs pénible du premier) même pour moi, mais rassurez vous il y’a des modes experts disponibles. Les temps de chargement sont anecdotiques, les graphismes à tomber par terre, et la maniabilité super intuitive, au bout de quelques minutes on est déjà en train d’inventer ses combos et on prend très vite la même arrogance face aux ennemis que notre avatar. Ce Nero est décidément efficace, il nous fait vite oublier Dante grâce à son très dynamique Devil Bringer. Cela dit pas d’inquiétudes, en plein milieu de la partie, vous gagnerez à la sueur de vos doigts la joie de retrouver notre chasseur de démons préféré. Après Assassin’s creed aussi beau et creux qu’un vase Ming, et le courtissime Mass Effect, c’est vraiment le pied de tomber sur un jeu qui tient ses promesses. J’aurais pu faire plus long mais là je retourne jouer.