Alors que je me rendais à la FNAC pour me procurer une place pour le concert de Ministry (qui a dit monomaniaque ?), je suis tombé par le plus grand des hasards sur une séance de dédicace de Liberatore.
3 heures passées à regarder dessiner un des auteurs qui a le plus marqué ma jeunesse, je n’ai pas vu le temps passer. C’était vraiment étrange, la première fois que j’ai vu Liberatore c’était un reportage sur ARTE, il était en sueur, visiblement complètement raide, et ça m’a fait drôle de me retrouver devant ce personnage timide et grisonnant, qui s’est illustré dans le cyberpunk destroy et ultraviolent, et qui verse désormais dans la fiction anthropologique avec les aventures de Lucy, notre symbolique ancêtre préhistorique.
Un homme vraiment simple et agréable, qui a passé une séance entière à faire des dessins tous différents et de grande qualité, un vrai régale pour les yeux.
Bon par contre j’ai pas d’image à vous proposer, comme d’habitude, j’ai préféré rester regarder le dessinateur plutôt que de me taper la file d’attente. J’ai tout de même cette petite griffe :
